Le workshop EMAN 2022 a eu lieu à l’Université Pasquale Paoli de Corte, en Corse, du 10 au 14 octobre 2022.
Intitulé EMAN à la croisée des complexités : Analyser et qualifier un outil d’humanités numériques, cet atelier avait l’objectif de poser les bases d’une réflexion autour des pratiques de la plateforme et de son rôle dans le paysage très vaste de la science ouverte.
John-Antoine Nau, mort il y a tout juste un siècle, est inconnu du plus grand nombre alors qu’il est le premier lauréat du prix Goncourt en 1903. Nau a séjourné en Corse de 1909 à 1916. Nous présentons ici une partie des lettres qu’il a écrites durant cette période.
Ce site a été réalisé lors d’un atelier de travail au laboratoire LISA (Université de Corte). Il est complété depuis par de nouvelles éditions de lettres.
Le site Nau est consultable à l’adresse qui suit :
Responsable du projet : Christophe Luzi
(projet arrêté sur la plate-forme EMAN)
Nous vous invitons à découvrir notre septième lettre d’information EMAN.
De nombreux événements s’organisent autour d’EMAN à l’approche de l’été. N’hésitez pas à consulter régulièrement notre carnet de recherche pour vous tenir informés des prochaines dates.
Les développements informatiques sont quelque peu au ralenti mais beaucoup d’interventions sur les données s’effectuent au fil des ateliers de travail, rendant ainsi possible l’ouverture publique de sites et l’augmentation des corpus et des transcriptions sur d’autres sites.
Vingtième site public sur la plateforme EMAN !
Ce mercredi 30 mars 2022, le site du projet Petru Santu Leca est ouvert au public sans mot de passe. La publication du site rend accessibles les poèmes corses de Petru Santu Leca (1879-1951), l’une des plus belles plumes corses, l’un des représentants les plus brillants et les plus prometteurs pour son époque.
L’écrivain corse Petru Santu Leca (1879-1951) avait le projet de réunir ses créations poétiques dans un recueil bilingue qu’il aurait intitulé Les Parcs dans sa version française, et pour sa version corse Fiori di Machja, sans doute en écho au Fiori di Cirnu qu’écrivit son oncle, le poète, écrivain et polémiste fameux Santu Casanova. Le carnet de poésies et de vers qu’il tient à partir de 1895, où se mêlent corse, italien et français, accompagné d’un autre carnet de notes personnelles, auraient très vraisemblablement jeté les fondements d’une telle publication.
